De la volonté de plaire au recruteur : 

Nous voyons une hausse considérable des fraudes et falsifications à l’embauche alors même qu’un des enjeux principaux d’un recrutement est la transparence.

On estime que 3 CV sur 4 aujourd’hui sont trompeurs d’après les experts du recrutement.  
90 % des gens qui fraudent sur leur CV estiment que c’est normal.

Un recrutement infructueux coûte en moyenne une année de salaire à l’entreprise.
C’est un atout concurrentiel de s’assurer dès l’amont que les candidats sont fiables.

Qu’est ce que dit la loi ? 

Le texte:

Le Code du travail stipule que l’employeur a le droit et le devoir de vérifier l’authenticité de toutes les infos figurants sur un curriculum vitae, encore faut-il le faire de façon légale !

La jurisprudence

Un arrêt de la Cour de cassation du 25 novembre a validé le licenciement pour faute grave d’un salarié qui avait menti lors de son recrutement. 

Une illustration :

Loïc a souhaité contacter des enquêteurs agréés dans le cadre de vérifications de CV. 
Il souhaitait vérifier les diplômes de droit et les expériences passées de son salarié, qui occupe un poste de responsable juridique.

Nous avons accepté la mission et avons pu commencer les investigations, après avoir signé un mandat avec Loïc.
A la suite de nos investigations, il s’est avéré que ce salarié n’avait aucun diplôme ni aucune expérience juridique. Loïc a pu licencier son salarié pour faute grave.